lendemain. VISITE APRËDLS CHECKOUT DE STEFANO

en revenant chercher nis sac de trek après le petit déj, nous croisons enfin Stefano. Sa femme lui avair racconté que j’étais une « passionée » de photo et comme lui l’est aussu, il a tenu a nous faire une visite guidée de la cave de sa famille, restée intacte depuis 1800. Ainsi que du « frantoio » voisin (moulin pour grano turco e huile d’olive) casi intact également. tellement intact qu’on croirait que les gens qui l’utilisaient étaient partis le jour avant.

en arrivant dans la cave on apprend qu’il s’agissait-là de la première et pratiquement seuke source de revenu de sa famille pendant des générations (jusqu’a ses grands-parents), les dernières bouteilles ont été produite en 2012, jusqu’à ce que son papa était encore là. ils produisaient du vin blanc, de raisin qui pouvait devenir très mature (17°) grace au soleil et avec un gout de sel de la mer qui faisait saliver les papilles latérales de la langue lorsqu’on le.buvait. je m’appercoit tout de suite du nombre de boutwilles de vin anciennes que contient la cave, celle de la famille mais aussi d’autres agriculteurs, son papa etant passionné de vin, il faisait beaucoup d’échanges.

stefano nous explique que la cave permet de garder la température ideale pour le vin, autant wn hiver qu’en été, on ressentait effectivement qu’on était dans un environnement différent, plus frais.
Il nous montre également des paniers de taille différentes, les premiers, plus petits étant pour les femmes et les deuxièmes, pouvant contenir 40 kg de raisin étaient pour les hommes. ils mettaient une sorte de linge enroulé, sur leur tete et epaules ce qui leur permettaient de marcher de km en utilisant que la force de leurs jambes. en effet, il n’était pas possible de tenir le panier des deux mains, les chemins étant trop étroits pour cela. Les agriculteurs échangeaient de plus les denrées (troc). il leur arrivait de parcourir jusqu’à 100km pour cela (genova?). Nous n’avons fait que Monterosso-Vernazza-Corniglia a pied, avec des sacs modernes de 15kg sur le dos et on était ko, je n’imagine pas la condition physique qu’il fallait avoir à l’époque..

Une fois le raisin cueilli, il était mis dans une grande cuve puis venait écrasé avec les pieds.

Stefano nous montre une étrange corde a laquelle étaient accrochés de petits blocs de liège, il s’agissait d’une bouée de l’époque. Il nous montre également des bocaux dana lequelles on salait les anchoix qui pouvaient etre consommés après 3 mois. contrairement a ce que la olupart des touristeals pensent, Manarola n’était pas un village de pecheurs mais d’agriculteurs, principalement de raisin pour le vin et d’olives pour l’huile. la peche n’etait qu’un moyen pour les familles de compléter leurs repas.

Après avoir pris quelques photos du lieu dans des conditions assez difficiles (faible lumière jaune, pièce un peu étroite, manque de temps pour composition) on est amenés à découvrir « il frantoio ». A l’époque, il servait a moudre le blé et a faire de l’huile d’olive. Cet endroit appartenait a um homme (légué?) qui s’en servait par contre à présent pour stocker ses affaires, puis a pratiquement été laissé à l’oubli. Puis, Stefano et une équipe de passionnés par l’histoire de l’agricukture et viticulture régionale ont redécouvert cet endroit laissé intact. selon stefano, cela donnait l’impression que les personnes utilisant le frantoio était parties la veille.

Nous entrons dans le frantoio e stefano nius explique par quels mécanisme, la force du moulin et des engrenages internes permettait de moudre le grain pour en faire de la farine. Il nous expliqua également comment par un mécanisme très simikaire, il était possible d’écraser les olives pour en faire une pate puis comme cette pate venait encastrée entre 2 sortes de tapis (natte) tressés, puis venait compressés pour en faire sortir de l’huile. de l’eau chaude pouvait etre ajoutée pour faciliter le processus (a la fin ik etait facile de n’extraire que de l’huile ouisque ik flotte a la surface de l’eau. pour ce faire, iks utilisaient de petites courges séchées qui pouvait servir de spatule.

a nouveau, stefano nous laisse le temps de prendre quelques photos.

En revenant vers la réception, il nous explique ensuite qu’avec son groupe de passionnés, il aimerait pouvoir créer des parcours de trekk dans les cinque terre permettant découvrir des lieux similaires et de mieux connaître l’histoire des 5 terre (plutot que de s’y rendre dans le seule but de prendre des photos devant les maisons colorées).
Nous lui proposant notre aide pour faire la promotion du projet via un site web et échangeons nos coordonnées.

Nous apprenons meme que stefano aimerait pouvoir boycotter booking qui prend 20% de comission sur le prix des chambres. il aimerait en effet creer une plateforme auprès de laquelle il serait possible de faire des réservations, gérée par les personnes de la région, sans comission, et cela de manière exclusive pour les 5 terre.

TRAIN RIOMAGGIORE
nous reprenons le teain sur le même quai qui nohs avait amené ici. en quelques mintues à peine, nous sommes à Riomaggiore

arrivés riomaggiore, nous avons la chance de vojr que directement devant la gare un coupke de retraités propose un petit service de garde de saca. nous posons donc les notres pour l’aprem, 5 euros chacun, et entamons directement la visite de riomaggiore. nous prenons tous les chemins possibles et voyons beaucouo de chose.

église, horizon, le bord de mer et achats masse souvenirs au passage, pestos, savons, etc. prenons des photos, ruelles avec vieux papi qui fume a la fenêtre, montons jusqu’au chateau puis redescendons pour reprendre nos sacs et la direction de Pise.

Nous quittons Riomaggiore pour atteindre la Spezia, qui nous semblait être une sorte de grand village des 5 terre. En sortant de la gare nous arrivons dans le chaos d’une grande ville et cela ne nous avait paa du tout manqué. Malgré les toursites, l’ambiance des 5 terre était bien plus calme. Nous ne pouvons cependant pas trop juger la Spezia car nous y sommes restés 30 minutes et dans la région de la gare. Nous avons bu un jus d’oranges pressées en dégoulinant de sueur et sommes retournés à la gare pour acheter nos billets de train La Spezia – Pisa centrale.

Nous arrivons a Pise et sommes agréablement surpris par l’ambiance et l’architecture….

nous arrivons à l’hôtel après une petite dizaine de minutes de marche. réception hôtel nous parle en français et n’est pas sûre du mot ascenseur. style très royal français des rois type louis xvi, j »aime bien ça me.fait rire.

nojs sortons et il fait déjà noir. nous nohs rendons à la tohr de Pise de nuit. c’est bien plus impressionnant que je ne le pensais. beaucoup plus que sur les pgotos.

tweet pixel3a

sur lenretour, il est tard mais cherchons restau. je prendw une salade calabrese (tomatemozza) puis une Pizza. Tara un plateau de viandes puis un grand plateau avec multiple choses en tiut genre pour deguster. nous n’arriveronscpas finir. pour pas perdre la face, on emballe les bouts de fromages encore non touchés et les emportons avec nous. retour hôtel et dodo.

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